Richard Bergeron M.Sc. Coach d'affaires, Leadership (Corpora...
A bas les masques!

On dit souvent que nous sommes notre pire ennemi et c'est totalement vrai!

Ce texte est un peu comme une brève autobiographie.  Afin de ne pas alourdir le texte inutilement, j'y inclus seulement les éléments importants que j'ai découverts et vécus.   Ces évènements m'ont façonné et permis de passer à une nouvelle étape de mon existence.  Alors voici mon histoire.

Dernier d'une famille de quatre enfants, j'ai eu cinq modèles comportementaux différents devant moi.  Mon père, entrepreneur et homme d'affaires accompli, ma mère, totalement dédiée à sa famille avec de multiples projets de bénévolat, ma soeur, l'ainée, un exemple de réussite académique et professionnelle, mon frère ainé, fonceur invétéré, doté d'un impulsivité quasi instantanée et mon dernier frère, une force de caractère d'une introversion totale. 

Ces cinq modèles de personnalité différente, avec leurs forces et leurs faiblesses, ont énormément façonné et enrichi ma vision de la vie, ma capacité d'analyse et de compréhension de l'existence.

Excellent direz-vous?

Oui et non!  Il y a toujours plusieurs facettes d'une même situation et celle-ci en comporte plusieurs également.

Ces cinq modèles différents avaient tous deux choses en commun;  ils étaient tous dotés d'une puissante personnalité et d'un ardent besoin d'affirmation personnelle, me laissant parfois dans l'oubli et l'inexistence.  Nos parents avaient également des personnalités très fortes et très peu centrées sur leurs enfants.  C'était ainsi à l'époque.  Les plus vieux s'occupaient des plus jeunes.  Mon éducation s'est donc effectuée dans l'observation des exemples avant moi et aussi, grâce aux interactions avec mes frères et ma soeur.

En mentionnant cela, je ne me plains pas, loin de là.  C'était ainsi et je ne me posais pas de questions. Je vivais ce qui m'arrivait dans une acceptation naturelle et volontaire.  Cet espace d'anonymat au niveau de ma famille avait un petit quelque chose de rassurant et de triste en même temps. Rassurant car je n'avais pas besoin de remplir les vides, de me questionner tout le temps ou à chercher à trouver des solutions.  Les plus vieux prenaient toute la place et s'occupaient de tout cela pour moi.  Triste aussi car on n'accordait que très peu d'attention à mes idées et on ne m'écoutait jamais et si on le faisait, mes frères disaient que c'était parce que j'étais le dernier, le petit chouchou de la famille.

J'étais cependant très heureux de vivre ainsi et sans trop me poser de questions, j'ai appris à observer les différents comportements humains, avec leurs blessures, leurs forces et leurs faiblesses.  Mon côté analytique a été développé très tôt dans mon enfance et je me considère comme ultra privilégié de cela.  J'ai aussi développé une énorme autonomie au niveau de mes études, mon alimentation, mon hygiène personnelle, etc.  Observateur naturel, j'ai acquis très jeune l'autonomie nécessaire pour atteindre un équilibre adéquat dans ma vie.

D'un autre côté, j'ai aussi appris à vivre inconsciemment avec le rejet, la solitude et le besoin de performer pour me faire valoir, me démarquer et prendre ma place dans la famille.  Mes idées étaient seulement écoutées par mes amis et mes professeurs qui reconnaissaient la valeur de celles-ci et me donnaient l'aval et la confiance qu'il me manquait pour aller de l'avant.  Cette dynamique a conditionné mes agissements et je ressens encore la pesanteur de ces conditionnements, encore présents en moi aujourd'hui.

Cheminement particulier

Mon cheminement particulier est directement relié à l'éducation reçue et à mes expériences de l'enfance.  Ayant eu des exemples puissants d'entrepreneuriat, d'études avancées, de recherche de performance, d'abnégation, de don de soi, de bénévolat, d'impulsivité extrême et d'introversion totale, j'ai toujours ressenti énormément d'ambivalence et de paradoxe intérieur.

Autant j'avais besoin d'épanouissement, de réussite, de performance, de faire ma place et d'affirmation de soi, autant j'avais besoin d'anonymat et de jouer un rôle de second plan, de deuxième niveau.  Mon rôle et ma situation familiale avaient forgé ces types inconscients de réaction et de comportement indus.  J'ai toujours eu de la difficulté à jouer un rôle de premier niveau, à être l'acteur principal de ma vie et ce, sur tous les plans.

Je n'ai jamais été capable de privilégier mon cheminement académique ou mon cheminement professionnel.  J'ai toujours fait passer en premier mes amis, mes amours, mon travail, mes responsabilités avant moi.  J'ai eu énormément de difficulté à terminer mon Cégep en administration générale.  Dispersé entre mes amis et le travail, mes études en furent grandement affectées.  Ça m'a pris cinq ans pour terminer mon cursus de trois ans.  Par la suite, j'ai arrêté l'école durant deux ans afin de travailler.  J'ai acquis une solide expérience en vente et représentation.  Durant ces deux années, j'ai performé et atteint des niveaux salariaux très élevés.

Cependant, mon besoin d'apprentissage était toujours présent et je suis retourné à l'université pour faire mon baccalauréat en administration des affaires.  Une fois mon cursus régulier de trois ans terminé, j'ai travaillé en tant que gérant d'un restaurant incluant une manufacture de produits alimentaires durant sept ans. 

Durant ces sept années, j'ai acquis une expérience de gestion et de consolidation de PME incontournable. Lors des deux premières années, j'ai consolidé l'entreprise qui venait de perdre son plus gros client et qui débutait une ronde de négociation syndicale.  Les cinq années qui suivirent me permis de tripler les ventes et de quadrupler les profits nets.

Négociation de la convention collective, embauche, développement de la force de vente, normalisation des opérations, gestion des comportements difficiles, système de rémunération, gestion des inventaires et des fournisseurs, recherche de nouveaux produits, etc.  Je me suis amusé solide durant sept années avant que l'appel de l'apprentissage ne revienne au galop.

Retour aux études

Je me suis alors inscrit en maitrise en Gestion des organisations à l'université du Québec à Chicoutimi.  Cursus de trois ans, complété en deux, j'ai été approché par mes professeurs et mentors pour faire une expérience de formation à l'université du Tchad à Ndjamena.  Je devais aller former les enseignants tchadiens et par la même occasion, leurs classes de finissants au marketing entrepreneurial.  Je ne pouvais évidemment pas passer à côté d'une telle opportunité et je suis parti durant six mois pour vivre l'expérience la plus extraordinaire de mon existence.

Deux mois après mon retour à Saguenay, alors que je ne faisais aucune démarche pour me trouver un emploi, encore une fois, un chasseur de tête m'a contacté.  Il m'a proposé un poste pour devenir Directeur de district des Restaurants Scotts Inc, entreprise de gestion ayant 158 restaurants PFK réparti partout au Canada. Je devais néanmoins passer au travers un processus complet de sélection, d'une batterie de tests psychométriques et d'entrevues avant d'obtenir le poste.  Évidemment, plusieurs autres candidats étaient aussi présélectionnés pour ce poste d'envergure.

Bien que ma scolarité de maitrise fût complétée, il me restait encore un mémoire à écrire pour obtenir mon diplôme.  J'avais un dilemme cornélien devant moi.  L'offre était néanmoins très alléchante mais je n'avais pas terminé ce que j'avais entrepris.  Je devrais gérer 10 restaurants PFK à haut volume d'affaires.  Encore une fois, l'opportunité qui s'ouvrait à moi était trop parfaite et j'ai décidé d'accepter de passer au travers le processus d'embauche sans réellement croire que j'aurais le poste.  

Un défi incontournable

Contre toute attente, j'ai été le candidat sélectionné et sans même avoir rédigé mon mémoire pour terminer ma maitrise, j'ai décidé d'accepter en pensant qu'il me serait facile de la compléter par la suite.  De toute manière, je n'étais pas un pro fervent des diplômes et des papiers officiels et me suis dit que cela n'enlevait rien à ma valeur personnelle et professionnelle.

On m'a donné le district du centre du Québec.  Pratiquement sans supervision depuis trois ans, cette région était nettement tout en bas dans presque tous les facteurs clés de succès.  J'ai 29 ans à l'époque, tout jeune et sans expérience de la marque et du produit, je me retrouve à devoir redresser un district au complet qui figurait toujours en dernière position dans les comparatifs des districts. 

La moyenne d'ancienneté des gérants du district était de 25 ans soit quatre ans de moins que mon âge de vie.  C'est donc dire que la plupart des gérants avaient commencé à travailler au PFK avant même que je ne vienne au monde.  Et c'est à moi que revenait la tâche de les diriger, de les encadrer et de les mener vers les sommets.  Je devais faire preuve de professionnalisme, de rigueur et de leadership afin de mobiliser toutes ces équipes chevronnées.

 

Faisant preuve de leadership de proximité adaptatif, après 16 mois de travail acharné, mon district trônait la plupart du temps, en première position dans pratiquement tous les KPIs (facteurs clés de succès) de l'organisation.  J'ai maintenu les performances de ce district durant cinq ans avant de changer de district.  John Betove Jr, anciennement propriétaire des Raptors de Toronto a acquis Restaurant Scotts et a fait un joint-venture avec Tricon, franchisseurs des PFK, Taco Bells et Pizza Hut.  La nouvelle entité s'appela Priszm Brandz inc.

Je me suis donc retrouvé avec le district de la ville de Québec.  Sur 12 restaurants, deux seulement faisaient des profits, deux en perdaient beaucoup et les huit autres oscillaient régulièrement autour du Break Even ou encore seuil de rentabilité.  Il a été décidé de fermer deux restaurants qui perdaient de l'argent année après année et d'essayer de rentabiliser les 10 autres.  Le district de Québec était syndicalisé et je devais vivre avec une convention collective restrictive au niveau des opérations.

La fusion entre Scotts et Tricon avait fait doubler le nombre de restaurants et nous étions évalués et comparés au travers les 720 autres restaurants de la marque, répartie à travers une soixantaine de districts. 

Après 14 mois, le district de Québec, qui auparavant était le pire au Canada, trônait pratiquement en première place dans presque tous les facteurs clé de succès.  C'était l'année de la fusion et la direction avait instauré un bonus de participation au profit sans limite.  En 1999, j'avais hérité du pire district au Canada et je l'avais propulsé en toute première place, en tête du peloton.  Mes 10 gérants figuraient parmi les 11 premiers de tout le Canada.  Nous avions échappé la huitième position.  J'ai reçu un bonus exceptionnel cette année-là et ce fut d'ailleurs la seule année qu'il offrirent ce genre de bonus.

De grandes victoires

J'ai maintenu le district de Québec parmi les plus performants, année après année, durant quatre autres années.  Malheureusement, une réorganisation de la direction apporta un changement de philosophie organisationnel dans lequel je ne me reconnaissais plus. 

J'ai alors quitté un emploi très motivant, stimulant et payant pour partir à mon compte et lancer mon entreprise de consultation.  J'avais plusieurs cordes à mon arc et je ne pouvais choisir un créneau spécifique au détriment de l'autre.  Mon expérience était globale et non spécialisée.  J'avais fait de la comptabilité, du marketing, de la vente, de la planification financière, la création de tableaux de bord, du recrutement, de la formation, de l'embauche, des évaluations de rendement, la réimplantation de la marque Pizza Hut à Québec, etc....  J'ai donc décidé de fonder mon entreprise de consultation Gestion Conseils 360° Inc.

J'ai démarré seul mon entreprise directement de chez moi.  J'offrais un diagnostic d'entreprise 360° afin de relever les besoins de développement que je pouvais implanter chez les entreprises.  Avec le temps, mon entreprise a grandi et nous étions 3 employés à temps plein et deux à temps partiel.  Ma petite firme offrait maintenant une gamme de produits et services de consultation reliés à la gestion des ressources humaines, à l'impartition de ressources en TI et è la formation en entreprise.  Je ne faisais pas de coaching car je ne considérais pas avoir suffisamment de compétence et de crédibilité pour coacher un autre entrepreneur.

Je ne faisais pas de coaching jusqu'au jour où Sylvie Desmeules, un contact professionnel qui est devenu une amie avec le temps, m'a contacté pour me demander de la coacher.  Je lui ai dit non, que je ne suis pas coach.  Elle a insisté.  J'ai continué en mentionnant que je ne pouvais pas, je n'avais pas la formation et je ne voulais pas lui prendre de l'argent avec un service incomplet.

Elle a insisté en mentionnant qu'elle connaissait mon parcours et mes réussites professionnelles ainsi que mon implication personnelle pour aider les gens qui sont plus désorientés.  Elle insistait vraiment pour que je sois son coach.  J'ai accepté avec une légère pointe de scepticisme mais bon, faut bien sortir de sa zone de confort pour évoluer et dire non à une personne qui te sollicite avec autant d'insistance me percutait énormément.  Et si elle voyait quelque chose en moi que je n'étais pas capable de voir par moi-même?

Le coaching s'est vraiment bien passé et Sylvie m'a écrit une superbe lettre de référence que vous pouvez retrouver sur mon profil LinkedIn.  Le bouche à oreille s'est propagé et plusieurs personnes demandaient à me rencontrer pour un coaching.  Je me suis ramassé à faire plus de coaching personnel et professionnel que de diagnostique et de consultation en entreprise.  J'adorais voir les changements comportementaux et les réussites s'accomplir pour mes clients.  Sylvie Desmeules avait lancé ma carrière de coaching... mais je n'étais pas coach.

Mon complexe de l'imposteur

Je me suis toujours moulé à mon rôle confiné de dernier de la famille, de deuxième violon, de subordonné performant.  Toujours un peu dans la sécurité de l'intraversion et de l'anonymat et toujours un peu dans la recherche de performance et de ma place dans mon univers.  N'ayant pas de certification de coach, je ne pouvais pas continuer à accueillir des clients en mode coaching sans avoir un outil qui me permettrait de prétendre que je m'appuie sur un système plus fort que moi. 

Je devais dépersonnaliser mon service.  Je ne pouvais pas me vendre moi.  Impossible. Je devais construire un modèle de coaching sur lequel je pourrais m'appuyer dessus, comme j'avais toujours fait par le passé avec mes frères et ma soeur.  Je me suis donc mis en tête de développer un modèle de réflexion systémique qui placerait l'humain et ses préoccupations au centre de son développement personnel et son leadership, au coeur de l'entreprise. 


 Je passais chaque minute de libre à réfléchir et à bâtir ce modèle qui permettrait à chaque personne de développer son leadership intérieur et ce, aussi, à l'intérieur de n'importe quelle entreprise.  Je me suis inspiré d'une grande leader, qui n'avait pas de diplôme d'étude supérieure mais qui gérait de grosses organisations avec panache et brio.

En observant et en discutant avec elle, j'ai découvert qu'elle avait pratiquement un équilibre parfait entre son intelligence émotionnelle et son intelligence rationnelle.  Ce niveau d'équilibre quasi parfait stimulait deux interactions intéressantes autour d'elle...  Elle stimulait l'adhésion à ses idées et la crédibilité envers sa personne. 

Les cercles du leadersgip 360°

Ce fut assez pour me donner le coup d'envoi pour développer un modèle incroyable qui me permettrait d'outrepasser mon complexe d'imposture.  Avant mon modèle, je n'étais pas capable de vendre mes services à 70 $ l'heure.  Même à 30 $ et 40 $ ce n'était pas chose facile.  Une fois le modèle bâti, je l'ai testé et présenté à des entrepreneurs qui furent enchantés de le découvrir.  En moins d'un an, soit en septembre 2006, j'ai commencé à proposer mes services de coaching à 225 $/h.  Je n'avais plus aucune difficulté à vendre mes services.

Mon complexe de l'imposteur avait disparu, mais je n'étais pas encore un vrai coach accrédité et parfois d'autre coachs me le mentionnaient lors de rencontre de réseautage afin de me discréditer.  Paroles qui résonnent encore en moi après toutes ces années.

En 2007, ma mère décède à la suite d'un pénible cancer.  J'ai alors pris la décision de fermer mon cabinet de Québec pour me rapprocher de mon père à Saguenay et qui avait de la difficulté à retrouver ses repères.  J'ai acquis un petit restaurant et quatre ans plus tard, les ventes avaient triplées et les profits quintuplés.  Je ne faisais plus de consultation, de formation ni de coaching.  Je ne faisais plus que de la gestion d'entreprise.  Après neuf années de gestion, les ventes sont presques à 10 fois ce qu'elles étaient lors de mon acquisition.

Sortir de ma zone de confort

Alors que je travaillais dans mon bureau au sous-sol, je suis tombé par hasard sur mon modèle de développement du leadership en cinq niveaux que j'avais développé avant de fermer mon cabinet professionnel.  Je ne pouvais pas le laisser mourir ainsi.  Je ne pouvais pas laisser ce trésor de réflexion sans donner la chance aux entrepreneurs québécois de le découvrir et d'y adhérer.

Je me suis donc mis en tête de développer un logiciel qui n'existait pas à l'époque afin de pouvoir l'enseigner à plus de monde possible.  J'ai donc débuté en 2018 à développer mon logiciel.  Au départ, je devais lancer un MVP, produit minimum viable.  Mais je trouvais toujours qu'il manquait une fonctionnalité avant de le lancer.  A chaque automne, alors que je voulais le lancer, mon complexe de l'imposteur me murmurait à l'oreille qu'il n'était pas prêt, que je devais le peaufiner, encore et encore et encore.

Durant six ans, j'ai retardé le lancement de ma plateforme et j'ai continué de la développer, année après année....  L'an passé, les murmures de mon complexe de l'imposteur m'ont incité à tout revoir le design qui avait mal évolué avec le temps et à en refaire un nouveau.  Nous travaillons encore là-dessus mais mon complexe est encore présent.  Je sens en moi l'imposture et que c'est impossible de lancer une plateforme de coaching si je ne suis pas coach moi-même.

Je me suis donc inscrit à une formation pour devenir coach!

Un nouveau défi

Si je veux atteindre mon objectif de propager un modèle de développement du leadership via le coaching d'affaires, je me dois de l'offrir moi-même en tant que coach.  Nous sommes donc le 9 septembre 2024.  Je suis en formation depuis avril. Je devrais avoir mon Certificat de coach en décembre de cette année.

Malheureusement, je suis rendu à l'étape ou je dois me trouver des participants qui voudront bien se faire coacher par moi mais je fige.  Je ne suis pas capable d'en parler autour de moi.  Je ne suis pas capable de me vendre personnellement.  Pourtant, les autres étudiants mentionnent tous que je suis correct, performant, professionnel et aussi bon qu'eux, mais je suis toujours incapable de me vendre et de croire en moi.

Je dois absolument me défaire de ce boulet qui m'empêche d'avancer et d'évoluer.  J'ai donc pensé écrire un article de blogue que je publierai et partagerai autour de moi afin de concrétiser mon cheminement.  Un article de blogue qui ferait état de mon cheminement et de mon désir d'évoluer vers une autre carrière.  Je dois poser un geste réel et concret afin d'affirmer ce que je désire réellement pour l'avenir, et mon premier tout petit pas est cet article dans lequel je m'ouvre totalement.

Mon coming out
Je suis coach et entrepreneur Web!

Je dois me considérer comme tel si je veux évoluer comme tel!

J'ai toujours été coach dans l'âme.  J'ai toujours été entrepreneur aussi.  J'ai toujours fait du coaching dans ma carrière autant avec des clients qu'avec des employés.  Depuis plus de 22 ans à mon compte, j'ai toujours eu la flamme entrepreneuriale.  Je serai prochainement certifié comme coach transformationnel spécialisé en développement du leadership corporatif et je désire accomplir ce dernier défi de mon existence avec brio.

Grâce à ma formation, je sais maintenant que j'ai la légitimité de coacher mon prochain.  Je veux aider et le coaching est la meilleure manière d'en aider le plus grand nombre!

Aidez-moi

Pour toutes personnes, entrepreneurs, propriétaires d'entreprise, chefs d'équipe, directeurs des opérations, gérants ou autre cadres intermédiaires, si vous désirez développer votre leadership corporatif et désirez vivre une expérience de coaching d'affaires pro Bono, c'est-à-dire sans frais, simplement me contacter pour prendre rendez-vous. 

J'offre cinq séances de coaching gratuites aux 3 premières personnes qui me contacteront ou prendront rendez-vous directement ici sur ma plateforme de rendez-vous en ligne.

On se voit bientot!

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Si vous êtes coach, directeur de formation, mentor, tuteur, propriétaire d'entreprise et désirez offrir de la formation en ligne, en présentiel ou offrir des séances de coaching, vous pouvez prendre rendez-vous avec moi sur le lien ci-dessous.

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